C'est très motivant de savoir que mon carnet de voyage sera lu par les copains et d'autres.
J'ai fait de mon mieux pour partager mes découvertes. Merci à tous ceux qui m'ont suivi.

Mon circuit Nord en 2014

Mon circuit Sud en 2012
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SKOURA - OUARZAZATE

Jeudi 8 mars :


Départ de Skoura en taxi collectif vers 8h (13 Dr). Arrivée à Ouarzazate peu avant 9h. 
Le taxi m’ayant déposé à la gare routière, éloignée du centre ville, je prends un petit taxi pour me conduire à l’hôtel. Les courses intra muros avec un petit taxi ne coûtent que 4 Dr.
Installation à l’hôtel Atlas. Accueil sympa, très bien situé dans une rue piétonne. Je choisis une petite chambre sur la terrasse pour 50 Dr.


Après change à la banque, je m’en vais à la recherche d’un café Wi Fi. Je finis par me retrouver à l’hôtel Bab Sahara ou je m’installe le restant de la matinée.
N’ayant rien mangé de consistant hier, je m’arrête dans un des nombreux restaurants alignés en bordure de la place El Mouahidine, cœur du centre ville qui s’anime en fin d’après midi.
Un plat de pâtes à 35 Dr suffit à mon bonheur.


Ouarzazate, un nom qui fait rêver, mais qui n’est qu’une ville sans intérêt d’un point de vue touristique, un passage obligé pour les touristes se dirigeant vers les vallées du Dades ou du Draâ.
La ville de Ouarzazate fut construite par les Français en 1928 pour y baser les garnisons chargées du contrôle des deux vallées.
L’avantage c’est qu’on y trouve un grand choix de restaurants proposant une carte permettant d’éviter le régime tajine-couscous. Evidemment pour ceux dont le budget est limité, les pâtes ou les pizzas feront l’affaire. D’autre part, on peut y trouver de l’alcool en vente dans les supermarchés.
Dans le courant de l’après midi, je m’en vais visiter le seul coin intéressant de la ville, la kasbah de Taourirt, domine la ville.
Elle a été édifiée au 17ème siècle pour servir de résidence aux pachas de la tribu des Glaouis du Tafilalet. Le dernier pacha est mort en 1956. Comme toutes les kasbahs, ses murs sont construits en blocs de terre sèche.











Je me contente de l’extérieur puis m’aventure dans les ruelles de la vieille ville située à ses pieds. Evidemment, au bout d’un certain temps on finit par se lasser, l’effet de surprise n’opérant plus (un peu comme pour les pagodes en Asie). En plus, tourisme oblige, on est ici, plus sollicité qu’ailleurs.
     
  
Aujourd’hui c’est Byzance, je me fais deux restaus dans la même journée.  J’ai du perdre quelques kilos compte tenus des efforts physiques déployés durant ce voyage et du régime d’ascète que je me suis imposé par soucis d’ économie.


Pour en savoir plus sur Ouarzazate, cliquez ICI


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